voilà pour notre groupe ( Sarah et moi ) !
Chapitre 3 : premier interrogatoire
Ce chapitre est crutial car c'est le premier interrogatoire, donc début du procès. C'est à partir de ce moment que K. rencontre pour la première fois l'appraeil judiciaire : temporellement et spacialement.
Temporellement : le dimanche : jour inhabituel ( les gens se reposent) comme si on voulait que personne ne soit inclut dans le procès et témoint de cette affaire. " même la nuit" -> idée de procès clandestin, illégal, secret. Procès " hors la loi" .
Lieu : " numéro de l'immeuble". " Il se trouvait dans une rue d'un faubourg lointain où K. n'était encore jamais allé". => contraire aux palais de justice qui se trouvent normalement au centre-ville et bien voyant.
ici, banlieu habité par de pauvres gens.
"Il avait cru qu'il reconnaitrait li'mmeuble de loin grâce à son indication quelconque...mais la JuliusstraBe..." finallement c'est un bâtiment uniforme comme si on ne voulait suspecter qu'un procès se déroule.
- Salle d'interrogatoire se trouve dans la masse et l 'annonymat, pour passer innaperçu.
- Aussi bien à l'interrieur qu'à l'exterireur, décrit une vie quotidienne ( femmes discutent, gens regardent par la fenêtre)... contrairement au personnage dont la vie est boulersée et pour qui aujourd'hui rien est habituel.
- " Il faisait gris ce dimanche - là": présage de la fin du livre
- cE qui parrait absurde : K. doit s'inventer toute une stratégie afin de trouver la salle d'interrogatoire. Le brouhaha de la foule, des enfants et le désordre qui règne semblen connotter son état interrieur.
=> Enfin il trouve la salle à la première pour du 5è étage. C'est la femme qui le reconnait " Un menuisier nommé Lanz habite-t-il ici ?" " Entrez je vous prie"
- Rencontre avec le directeur adjoint et ses propositions ressmbles à un coup monté.
domaine de l'insolite : c'est la première fois que K. est confronté au système judiciaire. Le juge d'instruction incarne la justice.
Procès de mascarade:
Description :" atmosphère irrespirable" brouhaha semblable à une foire. désordre. gens " relais" insolite : une blanchisseuse, un enfant ( = innocence).
procès à huis clos : " Je dois fermer derrière vous, plus personne n'a le droit d'entrer"
1ère descritpiton de l'appareil judiciaire :
- juge d'instruction " petit homme dodu à la respiration courte" " éclats de riere" " une petite table", sur la table un seul objet : " un petit registre"
" cahier d'écolier vieux et tt déformé"
- La salle : " emplissait une pièce assez vaste à deux fenêtres, avec une galerie en mezzanine tout autour , bondé elle aussi, et où les gens étaient contraints de se pencher pr se tenir debout et se cognaient le dos et la tête au plafond". = salle écrasante.
... il entre un peu plus ds la salle.
" Il s'avéra qu'à travers cette foule grouillante, il restait malgré tout un étroit passage séparant 2 parts opposés" =ressemble à une réunion politique de quartier.
Justice désuette : costumes du dimanche élimés, pénombre, fumée, poussière, le vieux cahier...
Etude précis :discours de K. ( commence p. 84 ( livre de poche) :
" votre question, monsieur le juge d'instruction, à savoir si je suis artisant - peintre"
Réquisitoire. Il dénonce le système judiciaire, alors qu'il vient juste d'y entrer et qu'il connait à peine. C'est son auto défense qui commence réellement. Il s'éexprime pour l'instant au juge d'instruction, alors que par la suite s'exprimera directement à la foule.
- remet en cause la justice
- ton sarcastique, cinglant : typique du requisitoire. cherche a évoquer ldes émotions. cherche le soutient du public " il aurait mérité es applaudissement". mais il a réussit à frapper le juge d'I ce qui lu prouve " un joie immédiate". On dirait qu'il fait une prestation.
" procédure" est le derme employé et semble pour lui inaapté.
- apparition de la blanchisseuse qui entre en pleine séance. révèle l'inchoérence du procès. Le juge d'I ne connait rien sur K. " d'ailleurs vous ne m'avez rien demandé, vous m'avez assené cette déclaration".
Va très loin dans son aggrsion, va jusqu'à arracher des mains, le cahier du juge d'I. Le juge semble " passif", il mène l'audience. K. n'a pas peur, il est persuadé de son innocence ( il sait même pas pourqoui accusé).
Il arranche le cahier, le lève en l'air et le tient du bout des doigts : comme qch de répuniant, méprisable. Juge semble peu sûr de lui, il semble penser que le cahier le rend crédible comme une protection : " sans doute pour se redonner un expression calme, il reprit son petit cahier" - ça le décédibilise aussi.
Cahier représente toute la justice : " objet repugnant, pages d'une écriture sérrés, maculées, aux bordures jaunies".
étape du discours ( argumentation):
1: en 1er s'adresse au juge, remet en cause la procédure
- ensuite il regarde réaction du public : pas d'applaudissement, mais attentif " on attendait manifestement la suite avec curiosité". Le juge d'instruction est frappé par ses propos ( joie pr K. )
2. humiliation du juge d'instruction ac le cahier. pas de réavtion du public " dont même l'humiliation du juge d'instruction n'avait pas suffit à secouer la torpeur où elle était plongée depuis le discours de K."
3. K. élargit la défense à ts les innoncents. l'auditoire se met à réfléchir, quelqu'un crit " bravo!"
4. résume en un long monolgue les conditions de son arrestation : dénonciation publique.
" ce que jesouhaite c'est que soit abordé publiquement un dysfoctionnement du service public".
Juge d'instruction fait un signe à qq1 de la salle.
5. K devient " maitre de l'assemblé". le mène au autoriser publiquement le juge d'I à dire " sifflez à présnet", " applaudissent maintenant" : semblable à un show télévisé.
gens discuttent à voix basse.
6. K les rappels à l'ordre, tape du poing, mène la barque!
remise en cause de la séance et de l'attitude du public " avait on joué la comédie" ?
ils les accuse, eux, le public et finit par les traiter de " misérables".
Il cherche à " conquérir" l'auditoire, il cherche leur adhésion ds les visages, ds leur réaction, il éprouve du plaisir à se défendre. Il devient petit à petit maitre de l'assemblée.
On peut étudier le progrès de K. ds sa force de persuasion et les effets d'argumentation ( hausse du ton, regard, coup de poing ).
C'est la SEULE AUDIENCE PUBLIQUE DU ROMAN. PASSAGE CLE !